Morbleu!
Des racontars, vipérins autant que non avisés, me revenant malencontreusement aux oreilles, répandent une aussi fausse que vaine rumeur, comme quoi ce blog serait tellement déserté qu'il faudrait du carbone 14 pour dater les derniers commentaires?!
Racontars!!!
Par ma barbe, le moment venu, je saurai faire payer pareilles vilénies!
Alors comme ça on a pas le droit de faire la sieste?! A peine ouvert l'oeil, et voilà, paf on se fait agresser... Mais la voilà la suite de cette trépidante, exaltante, passionnante, complètement inconsidérée, décision du retour à la terre :
Ce fut de trépidants voyages intersidéraux pour dégotter un deuxième reproducteur pour mes futures juments d'Auvergne, d'exaltantes sessions de clôture, de passionnantes journées de débroussaillage, des commandes de granulés complètement inconsidérées...
Mais le meilleur, c'est ça :
C'est Vendetta, fille d'Ouvéa et Babeliba, née en mars à l'élevage.
C'est aussi ça, tout ce qu'ici on arrive à faire avec le Cheval d'Auvergne production Haut-Languedoc (à labelliser, parce que celui-là à plus de 30 ans d'âge, et donc de sélection...):
Patrick Ambec avec Quéfyr, hongre de 5 ans, fils de Babeliba.
Ouzbeck en traction agricole chez Nadia Pardigon, encore un produit de Babeliba, 7 ans.
C'est aussi toute cette émulation locale qui se forme autour de cette petite race rustique, ce "montagnol" qui peut tout faire, et qui le prouve.
Qu'il est reposant, enfin sortie du cadre associatif, de pouvoir promouvoir les produits de l'élevage d'Auvergne (ah oui mais label Haut-Languedoc...) avec des professionnels, reposant, enrichissant aussi.
Reste un problème tout de même, et de taille : Laurence (Ecole d'Equitation du Somail) a beau se lancer à son tour dans l'élevage du Cheval d'Auvergne, nous allons avoir du mal à satisfaire la demande. D'autant que le cheval d'Auvergne, c'est pas facile à vendre, parce que quand on l'élève, ben...on a envie de le garder...
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